Dès que j’ai un peu de temps libre, j’adore bouquiner un peu. Ce que j’aime par-dessus tout, c’est lire des œuvres de l’auteure française Claudie Gallay. Son best-seller Les Déferlantes, et encore récemment Détails d’Opalka pour lequel elle a obtenu le grand Prix de la Ville de Saint-Etienne en octobre 2014, sont de véritables compagnons qui ne quittent plus ma table de chevet. Et même lorsque j’ai fini un livre, j’aime le relire encore de temps en temps, histoire de retrouver un sentiment d’apaisement intérieur.

Les Déferlantes, « Un roman qui a du souffle »

D’après le Figaro, Les Déferlantes est un « roman qui a du souffle ». Ce qui je trouve, exprime extrêmement bien mes sentiments sur le sujet. Un souffle aussi violent que déferlant, comme les tempêtes et les grandes marées décrites par Claudia Gallay dans son roman. Au fil des pages, j’étais tellement dans la peau de l’héroïne, une ornithologue nouvelle arrivante à la Hague, qu’à chaque lecture, il me semblait ressentir l’éveil de l’amour et l’émoi grandissant chaque fois que l’héroïne rencontrait son cher Lambert. En somme, une belle histoire qui raconte à merveille une quête d’amour comme je les aime !

Des personnages poignants de charme et de sincérité

J’adore comment Claudie Gallay décrit les autres personnages qui font vivre le roman Les Déferlantes. Chaque fois que je lis des lignes qui évoquent la sincérité véritable d’une vie comme la vieille Nan, ou encore Lili ou Théo, la fausseté des gens de nos jours ne fait qu’accentuer mon désir d’être meilleure. D’un autre côté, Max et la petite fille surnommée Cigogne sont de véritables bouffées d’air frais qui encouragent par leurs volontés de s’en sortir. Ce n’est pas pour rien que cet ouvrage a obtenu 19 prix littéraires dont Le Grand Prix des lectrices de « Elle ».

Détails d’Opalka, un roman découverte

Avec ce roman, Détails d’Opalka, je n’avais pas encore entendu parler d’Opalka ou de toute chose qui pourrait s’y rapporter. En effet, je pense que je ne me serais jamais hasardée à lire ce livre si ce n’était pas une œuvre de ma romancière préférée, Claudie Gallay. Ayant littéralement dévoré tous ses romans, j’attendais avec impatience le moment où elle sortirait enfin son nouveau livre ! Et lorsque Détails d’Opalka était enfin disponible en librairie, je me suis ruée pour ne pas rater les premiers exemplaires.

Mais là, l’impatience est tombée d’un coup. Que réserverait un tel livre et un tel titre à une incurable romantique comme moi ? Que vais-je y découvrir ? Serais-je autant passionnée par cette histoire que par les autres histoires d’amour auxquelles m’avait habituée mon auteure favorite ?

Découvrir l’art et la littérature sous un autre jour

Quelle n’a été ma surprise (agréable d’ailleurs) quand j’ai découvert qu’au fil des pages de Détails d’Opalka, j’étais tellement happée par chaque mot et chaque description de l’auteure, que je me retrouvais impatiente de retrouver mon livre chaque soir avant de m’endormir ! Moi, qui hésitais devant le titre, qui ne savais pas qui donc était le fameux Opalka, étais presque en transe à mesure que ma lecture avançait.

J’ai découvert qu’Opalka était un artiste fascinant, sur qui la misère ou encore l’atrocité de la guerre, a fait naître un être sensible qui a su transmettre à merveille l’importance d’apprécier chaque instant de la vie à travers ses chefs d’œuvres. C’était une formidable façon pour moi de découvrir l’art et la littérature avec d’autres yeux et un autre cœur.